En 1811, la manufacture de Morlaix rouvre ses portes avec le titre de "manufacture impériale des tabacs" jusqu'à l'exil de Napoléon. Restauration oblige, la manufacture redevient royale. La réglementation du travail et de la vente, déjà organisée de façon quasi militaire sous Napoléon, se fait alors de plus en plus stricte.